Riki Kazuki, La Lune D'Argent [Finie]

Silver Moon # Pirate

Riki
Kazuki

• Nom/Prénom : Kazuki Riki
• Âge : 24 Ans
• FDD / Lame : Un sabre briquet plus grand que la normale. Il a une garde en or le rendant un peu lourd et une lame en acier aussi tranchante que résistante. Il porte sous son manteau une multitude de petits couteaux utilisés comme projectiles.
• Camp : Pirate
• Race : Humain
• Haki souhaité : Armement
• Surnom : Silver Moon
• Rêves / Buts : Devenir un Yonkou ou Shichibukai / Venger sa famille.

Description Physique

Vous apercevez à quelques mètres devant vous une silhouette. Il ne vous est pas difficile de deviner que celle-ci appartient à un homme et en vous concentrant un peu vous pouvez même lui associer une certaine taille qui se rapproche plus ou moins des 178 centimètre. Ce corps taillé légèrement en V ne vous semble pas très particulier, mais votre curiosité vous pousse à vous rapprocher afin de mieux l'examiner.

Plus qu'à deux mètres de distance, vous le regardez de haut en bas d'une façon assez grossière et continuez votre analyse. Vous vous rendez compte que ce corps appartient à un jeune homme dont l'âge se rapproche des 24 ans. Vous regardez ses bras et le bout de torse qu'il laisse apparaître dans son col en V et vous ne voyez pas l'ombre d'un muscle, mais à en regarder sa tête, cela ne vous choc pas. On le prendrait plus pour un homme d'affaire ou un scientifique qu'un pirate.

Vous plongez vos yeux dans les siens d'un bleu clair magnifique. Ce regarde envoûtant ne vous laisse pas de marbre et vous plaît même. Il dégage de son simple regard tant d'émotion mais tant de mystère en même temps que vous n'arrivez pas bien à savoir à quoi il pense. À en trop regardez ses yeux, vous n'avez même pas remarqué qu'il avait des lunettes de vue au squelette noir. Vous trouvez que cela lui donne un certain charme et vous vous demandez s'il ne voit pas de près ou de loin. Si seulement vous saviez qu'elles ne lui servent strictement à rien, leur principale utilité est de lui donner un côté plus sérieux.

Sur ce regard d'azur, vous pouvez voir qu'une mèche brune tombe dessus. Vous la remontez du regard et tombez face à une chevelure volumineuse. Vous regardez dans un premier temps la forme de cette masse capillaire et vous remarquez qu'elle n'est pas vraiment coiffée. Certaines mèches partent à gauche, d'autres vers le haut et certaines n'ont pas vraiment de trajectoire. Ces cheveux tombant jusqu'au bas du cou vous attire et l'envie de passer votre main dedans se fait de plus en plus ressentir. Vous imaginez déjà la douceur et la souplesse de ces cheveux qui vous appels, mais vous vous retenez tant bien que mal.

Vous baissez un peu votre regard afin de revenir sur ce visage dont vous n'avez regardé que les yeux pour le moment. Et en regardant de plus près, vous pouvez apercevoir des traits fins. Un petit nez assez discret supporte une paire de lunette. Une bouche fine et attirante dissimule un sourire resplendissant à la dentition irréprochable. Deux oreilles aux dimensions idéales dissimulées par de longues mèches. Et un menton délimitant l'axe de symétrie de son cou clair.

Après avoir regardé ce visage, vous vous intéresser au reste du corps en commençant par ses mains. De fines mains légèrement efféminé mais virile à la fois. Les extrémités de ses longs doigts sont recouverts d'ongles parfaitement bien entretenus.

Vous remontez un peu ses bras et apercevez un bandeau de couleur bordeaux à chacun des poignées du jeune homme. Ils semblent être fait dans un tissu quelconque, mais vous préférez ne pas trop vous attarder dessus. Deux épaules rectangulaires parfaitement alignées croises votre regard. Cette posture droite et assurée vous rappel celle des hommes de riches familles.

Vous remarquez un long manteau bleu marine tombant jusqu'aux cuisses et s'arrêtant grâce à un revers avant le bandeau bordeaux. L'intérieur ainsi que le bord du manteau sont noirs faisant ressortir les boutons couleurs or qui servent de décoration. Un gilet de smoking totalement noir se situe en dessous du manteau. Il laisse voir le col d'une chemise blanche monter jusqu'à la mâchoire. Une ceinture noire à la boucle or vient soutenir un jeans bleu marine rentré dans deux bottes hautes noires. Cette ceinture porte aussi un sabre briquet à la garde d'or et à la lame d'acier fine, tranchante et résistante rangé dans un fourreau noir.

Description Psychologique

Riki est quelqu'un de simple, il n'est pas le genre de personne à faire compliqué lorsqu'on peut faire simple. Chaque décision qu'il prendre est toujours réfléchie et il ne regrette jamais l'une de ses actions et accepte tout ce que ça peut entraîner par la suite. Après tout, la vie est une succession d'actions et de conséquences, chaque chose se passe dans un but précis et on ne peut rien contre. Si on se trouve à un endroit précis, à un moment précis et qu'on fait un geste précis, c'est que ça devait se passer comme cela. Enfin c'est ce que pense Riki.

On peut le considérer comme un homme de confiance car il ne revient jamais sur ses promesses et jugement. Une promesse pour lui à deux issues possibles, le succès de celle-ci ou sa propre mort. Il préfère mourir que vivre dans la honte d'une promesse non respecté. C'est l'un de ses principaux principes. Mais attention, tant qu'il ne vous jure pas quelque chose, il peut changer d'avis et faire tout le contraire. Très protecteur envers les personnes qui ont réussi à gagner une place dans son coeur. Il donnerait volontiers Sa vie pour sauver celle de l'un de ses amis. Ayant trop souffert de la mort de sa famille, il ne veut plus perdre des gens qu'il aime.

De caractère assez calme et patient, il perd que très rarement son sang froid. C'est ce qui fait sa force, il ne se laisse pas dépasser par les événements et arrive toujours à trouver une solution aux problèmes. Il est la personne qui a tendance à rassurer les autres que ce soit par la parole ou les gestes. On admire beaucoup son self-contrôle. Cependant, il n'aime pas se faire marcher sur les pieds et il le fait clairement comprendre. Si vous le croisez dans un bar en train de boire un verre de jus d'orange (car il adore ça) ne venez pas le taquiner de trop. Il vous demandera gentiment de partir une première fois, mais la seconde il aura tendance à sortir son épée et à vous donner une bonne correction et si vous êtes chanceux il vous fera la peau. Vous l'aurez compris, il n'aime pas vraiment se répéter.

L'âme du guerrier, il aime beaucoup le combat. Toujours prêt pour croiser le fer et montrer qu'il n'est pas une proie facile, il se bat pour se prouver à lui-même qu'il est le plus fort. Son but étant de devenir un Yonkou et de venger sa famille, il veut que rien qu'en entendant son nom les gens savent de qui on parle. Il veut montrer sa puissance au monde entier et que plus jamais on ne s'en prenne à l'un de ses amis sous peine de goûter à son fléau. Mais venez quand même tenter votre chance, son épée sera ravie de jouer avec votre corps et de vous ôter la vie, enfin si c'est ce que vous voulez bien sûr.

Une habitude assez étrange qu'il a prit on ne sait où, mais il a l'habitude de tutoyer les hommes et de vouvoyer les femmes. C'est un grand gentleman et charmeur envers la gent féminine tant que celle-ci lui plaît. Les seules filles qu'il tutoie sont ses proches amies et les seuls hommes qu'il vouvoie sont les personnes qu'il tient haut en estime, qu'il soit pirate, marine ou chasseur de prime. Il a un grand respect pour ses adversaires tant que ceux-là en sont méritant.

Sinon Riki aime bien rigoler et prendre du bon temps avec ses amis, se détendre un peu, faire un petit festin enfin ce la couler douce une fois de temps en temps. Bon c'est vrai qu'il rit avec difficulté, mais ça lui arrive parfois. Sinon faire une partie d'échec ou de dame le convient tout à fait et c'est l'un de ses passes temps favoris, enfin quand il trouve un adversaire à sa taille. C'est quelqu'un qui aime bien le calme et se retrouver un peu seul pour réfléchir sur tout et n'importe quoi.

Histoire

Tout a commencé sur une petite île du côté de North Blue. Une île assez festive, mais qui était surtout connue pour les incroyables bretteurs quelle abritait. Chaque individu ou presque naissait avec une lame à la main. C'était le sport local pour tout dire, des compétitions et tournois s'organisaient tous les six mois afin de déterminer le meilleur bretteur de l'île.

Et je n'échappais pas à cette pratique. Née dans la clique de la ville, j'avais pour parents une mère commerçante et un père marine.

Ma mère vendait plusieurs choses comme des vêtements, des fruits, des jouets ... Une rumeur disait sur elle que tout ce qu'elle voulait vendre elle le vendait. Chaque vente était pour elle un nouveau combat qu'elle remportait haut la main à chaque fois. En parlant de combat, elle aussi maniait l'épée. Enfin son domaine était plus le fleuret, elle disait que le katana ou le sabre était trop masculin pour une femme.
Sinon j'avais mon père comme modèle. Je ne pouvais que l'envier. Il était un admirable colonel respecter par tous ses hommes et par ses amis aussi. Ce que j'admirais le plus chez lui c'était ce sabre briquet qu'il portait tout le temps sur lui. Un joli sabre qu'il maîtrisait à la perfection. Il avait été à trois reprise le meilleur bretteur de l'île. On lui avait donné le surnom de Golden Moon (La Lune Dorée). Son style à l'épée était assez particulier et c'est de ce style que je me suis inspiré.

Je me rappelle de mon premier entraînement avec mon père. Du haut de mes cinq ans et de ma toute petite taille, mon père me prit dans ses bras et me murmura ses quelques mots qui résonnèrent dans ma tête comme les paroles d'un dieu :

« Tu veux venir t'entraîner avec Papa ? »

Aucun mot n'étais assez fort pour exprimer ce que je ressentais. Tellement heureux, je crus le rendre sourd en hurlant de joie dans son oreille. J'étais l'enfant le plus heureux du monde et je ne tenais plus en place. Trois minutes après cette annonce j'avais déjà préparé toutes mes affaires. Croyant partir pendant plusieurs jours j'avais mis dans un grand sac tous mes vêtements, ma brosse à dents, de la nourriture, ainsi que Poppy mon ours en peluche. Mais au final on n'était parti avec une simple bouteille d'eau.
Arrivé devant une grande bâtisse qui m'était encore inconnu, j'étais impatient de découvrir ce qui m'attendait.

« Dit Papa, c'est quoi cette grande maison ? »

« C'est le dojo de la ville aussi appelé la Blade room. À partir de maintenant, tous les jours tu viendras t'entraîner ici et tu deviendras un excellent escrimeur. »

« Je deviendrais aussi fort que toi ? »

« Seulement si tu le souhaites vraiment. »

« Hein ? »

« Ah ah. C'est parti pour ton premier entraînement. »

C'est ainsi qu'il me montra comment se servir d'un sabre. Mais je n'avais pas imaginé le travail que c'était. Le pauvre garçon que j'étais venait de découvrir des parties de son corps qu'il lui était encore inconnu. Bleus et courbatures étaient devenues mes meilleurs amis. Mais au fil du temps je sus m'habituer à la dureté de cet univers.

.......

Pendant douze ans je m'entraînais dès que j'avais du temps libre. Finis le temps des lames en bois destiné aux morveux de bas âges. Je pouvais maintenant utiliser de vraies armes bien que la plupart n'étais pas aiguisé pour les entraînements. Pendant douze ans mon père m'avait formé comme l'un de ses hommes de la marine. Huit ans à perfectionner mon style de combat à l'épée, deux ans au combat au corps à corps, un an où j'ai été autonome car mon père était parti en mission sur Grand Line, trois mois en tant que soldat à la marine auprès de lui pour voir comment cela ce passait et neuf mois à apprendre deux techniques de la marine, le Soru et le Geppo.
Je me rappelle ces mois à essayer de maîtriser le Soru et le Geppo. J'ai passé six mois entier à maîtriser le Soru et trois mois pour le Geppo.

Six mois à courir, encore et encore. Faire un 100 mètres en moins de dix secondes, puis en moins de huit secondes, puis six, puis quatre, puis deux. Malheur à moi si je n'y arrivais pas. Chaque raté me faisais gagner le droit de courir pendant deux heures sans relâche. Je ne vous raconte pas le nombre de paires de chaussures qui y ont laissés leurs semelles. Mais au final je réussis à réaliser un temps inférieur à deux secondes, c'est la vitesse d'un bon Soru.

Après cela j'eus le droit à une semaine de repos avant d'entamer les trois mois assez intensifs. Encore une fois l'imagination de mon père pour acquérir le Geppo était sans égal. Le Geppo est plus facile à apprendre une fois que l'on maîtrise le Soru dit-on, mais il reste extrêmement compliqué.

Réussir à donner plus de dix coups de pied à une vitesse imperceptible au même endroit afin de compacter l'air et de pouvoir rebondir dessus, voilà ce qu'est le Geppo. Mon père me laissa deux semaines pour m'entraîner à même la terre afin de maîtriser la base du Geppo. Après cela, il me fit monter une multitude d'escalier afin d'arriver sur un toit et m'ordonna de sauter. Si je ne voulais pas tomber, il fallait que je réussis le Geppo et que je le maintiens pendant cinq secondes à hauteur du toit, ni en dessous ni au-dessus. Au sol m'attendait une belle marre de boue qui m'alourdissait à chaque fois que je tombais dedans et me donnait un peu plus de mal à remonter les escaliers et à tenir le Geppo.

Après ces douze ans, mon entraînement fût interrompu par le tournoi de l'île pour désigner le meilleur sabreur. Bien sûr il y avait des catégories selon les âges. J'étais dans les 15-18 ans. Ce tournoi était pris très au sérieux par l'île, et une belle récompense à la clé. Pour ma catégorie d'âge on recevait l'une des lames rentrant dans les 20 jugements cette année là.

Je passais les qualifications haut la main sans avoir beaucoup d'encombre et personne pour m'encourager à part quelques amis, mon père étant en ville pour son travail et ma mère était occupée à la maison à préparer un festin pour mon retour. Je leur avais dit que je leur ramènerais la lame légendaire. Je me voyais déjà chef de l'un des plus gros navire de la marine armé de mon épée légendaire. Jusqu'à ce jour je rêvais de suivre les traces de mon père et de le surpasser.

Arrivé sans grand mal en finale, une nouvelle parcourra toute l'île en une fraction de seconde et annula le tournoi. Des pirates venaient d'accoster sur l'île et ravageaient tout sur leur passage en kidnappant les enfants de bas âges. L'île était mise à feu et à sang en moins de temps qu'il ne le faut pour le dire. Plus personne ne savait où donner de la tête. Les femmes couraient dans tous les sens en essayant de protéger leurs enfants, les hommes eux se battaient jusqu'à en perdre la vie pour protéger leur famille. Prit de panique et de peur je courus le plus vite possible pour me rendre chez moi qui se trouvait près de l'entrée de la ville.

La porte enfoncée, les vitres brisées et le toit enflammé qui s'écroulait petit à petit. Je pénétrais dans ma maison et vu ma mère, allongé dans une flaque de sang, le corps inerte. Les larmes coulèrent le long de mes joues comme un torrent d'eau mélanger aux cris de mes pleures. Mon père arriva quelques minutes après et me prit par le bras pour me sortir de la maison qui s'écroulait. Il me dit de me calmer, mais je pouvais voir dans son regard la tristesse qu'il essayait de cacher. Pendant qu'il essayait de me consoler, trois pirates s'approchèrent de nous armé de sabre.

« Riki, cours, va te cacher dans la forêt ! Ne reviens que quand ils seront partis ! »

« Non ! Je vais t'aider ! »

« Riki! Non! »

Aveuglé par la rage et la soif de vengeance, je ramassai un sabre au sol et me lança tête baissée sur les trois pirates. Je réussis à en prendre un de vitesse et à le blesser légèrement à la jambe droite. Mais ma colère entrava mes sens et je ne vis pas la lame d'un second pirate. Mon père me sauva de justesse en bloquant le coup à l'aide de son arme et réussit à asséner un coup mortel au pirate qui lui faisait face, mais ne vit pas le troisième pirate qui le transperça de par et d'autre. Le monde sembla s'écrouler au tour de moi. Je ne voyais plus de raisons de vivre. Le corps agonisant de mon père s'écroula au ralenti devant moi me plongeant dans l'inconscience.

« Riki ... tu dois vivre. »

Ce sont les derniers mots que mon père m'adressa lors de son dernier souffle accompagné d'un léger sourire. Je ramassai alors le sabre de mon père et me mis à courir en direction de la forêt comme il me l'avais conseillé. Mon corps était hors de mon contrôle, je voulais tellement les venger, mais je n'arrivais pas à faire demi-tour. Je n'arrivais qu'à courir pour fuir et me cacher dans un tronc d'arbre en pleurant toutes les larmes de mon corps et resta caché pendant trois jours. En retournant au village, les pirates étaient sur le départ. Caché dans l'ombre d'une maison à moitié détruite, j'aperçus de loin un pirate et un membre de la marine, face à face. Le marine portait le manteau des amirales, je me dis qu'il allait nous protéger ou venger le village, mais celui-ci tendit un sac plein d'or au pirate puis ils se firent une poignée de main et partir chacun de leur côté.

.....

Voilà sept ans que j'ai perdu mes parents. Depuis tout ce temps j'ai dû apprendre à vivre par mes propres moyens. J'ai dû travailler par ici et par là afin de me faire un peu d'argent pour mon prochain voyage. Je compte partir en mer, voyager, vivre des aventures palpitante. Avant, je voulais être un puissant amiral de la marine mais c'est fini, j'ai remarqué que même la marine n'est pas forcément plus honnête que les pirates. Alors, autant que je parte à la recherche du One Piece, j'aurais plus de chance de trouver l'équipage de pirate qui a tué mes parents et avec un peu de chance l'amiral qui a participé à ce carnage. Je compte bien prendre ma revanche et leur déconseiller fortement de recommencer.

© One Piece Sanctuary

Silver Moon # Pirate

Bonjour,

Voilà c'est pour prévenir que j'ai terminé ma présentation.

Merci.

Administrateur # L'Archiviste

Bonjour et bienvenue !
Voilà ma notation :

Français 17.5/20

Orthographe 9/10
 Des fautes sont présentes, mais n'altèrent que peu la qualité du récit.
Construction de phrase 4.5/5
 A part une petite tendance à la répétition ("ses principaux principes"), rien de très alarmant.
Ponctuation 4/5
 Je pense que certaines phrases manquent parfois de virgules, mais c'est bon dans l'ensemble.

Cohérence + respect 10/10
 Histoire cohérente, et respectueuse du contexte et du manga. L'apprentissage du Rokushiki est justifié.
Originalité + mise en page 4.5/5
 L'histoire aurait été plutôt originale si la vengeance du meurtre des parents n'était pas le leitmotiv de tous les membres du forum ^^ Enfin je vais pas trop te reprocher ça, tu n'y es pas pour grand chose. La mise en page est lisible et agréable.

Donc 17.5 + 10 + 4.5 + 5 = 37 /40

Ça fait beaucoup de monde niveau 37 ^^ !

Silver Moon # Pirate

Merci pour l'accueil et encore merci pour la notation et la réponse rapide.

Fondateur

37 étant le niveau moyen des rôlistes, c'est plutôt bien. Smile

Tiens, je te laisse mettre dans son groupe et mettre un rang spécial avec le surnom qu'il a demandé, Sesmar^^'

Silver Moon # Pirate

Merci beaucoup ^^.