Raito Homare | « Connais-tu l'histoire ... ? » | Uc

Raito
Homare

• Nom/Prénom : Homare Raito.
• Âge : 29 ans.
• FDD / Lame : Matmatah.
• Camp : Marine.
• Race : Humain.
• Haki souhaité : Observation.
• Surnom : The Purgatory.
• Rêves / Buts : Il désire obtenir les plus grandes lames. Non pas les 4 Légendes mais au moins l'une de ces dernières, ainsi qu'une des 6 Frères, ainsi serait-il reconnu comme un être puissant. Outre ce désir de sabreur, il n'a qu'un rêve : Juger le Monde. Les Révolutionnaires ainsi que la Piraterie, aussi complice, dont deux institutions qu'il lui attarde d'émettre son propre avis.

Description Physique

« _ Tu l'as déjà repéré, je suppose ?
_ Evidemment.
_ Alors ?
_ Il est d'un autre monde, je crois. »

Les deux jeunes filles regardaient d'un seul et même côté. Un seul homme qu'elles avaient tous deux repéré dès son entrée. Elles avaient eu la même idée. Plutôt que de se déchirer pour l'obtenir, elles feraient en sorte de l'avoir en même temps. Bien sûr, ce serait difficile de l'amadouer puisqu'il n'avait même pas porté un regard dans leur direction. Mais elles étaient du genre tenace. Et il en valait plutôt bien le prix. Aussi, d'un commun accord, elles hochèrent de la tête avant de reprendre leur observation.

Les deux premières choses qui les avaient gagnés à sa cause, ce fut sa chevelure et son regard. La première était blonde, un air ébouriffé et jamais coiffé y donnait un charme bien particulier. Quasi ravageur pour les deux donzelles. Ensuite, son regard brun rougeâtre, rempli d'une malice et d'une forme d'intelligence, lui offrit une autre puissance. Celui du chasseur. Ajouté à cela un sourire d'ange, où une forme d'arrogance se lit, et vous aurez le portrait de cet homme. Un côté « bad boy » achevant son visage, et le prédateur se dessine doucement. L'oeil vif, toujours sur le qui-vive, ne laisse finalement rien échapper. Mais ce n'est pas tout. Car une attirance ne se joue jamais exclusivement sur un visage, malgré ses belles proportions.

Habillé d'un pull surmonté d'une capuche, constamment posée sur son crâne, telle une marque d'insoumission aux règlements, il porte en dessous de cela un simple t-shirt. Les écritures s'effaçant, il est difficile de deviner l'origine de ce dernier. Un jogging mal remonté laisse apparaître une partie de son boxer. Même si elles n'eurent qu'un bref instant pour apercevoir ses chaussures, elles furent surprises de découvrir que celles-ci n'allaient guère avec le reste de ses vêtements. Autour de son cou, une écharpe complète son accoutrement rebelle. Provocateur était le mot qui leur était venu à l'esprit. Choquant. Offensant pour les classes privilégiées.

Et déjà le déshabillent-elles du regard. Elles l'imaginent avec un corps musclé, sans être trop anguleux. Juste ce qu'il faut. Comme elles aiment. On pourrait découvrir les tablettes en chocolat, des bras saillants. Les jambes entraînées à la course. Oui, il était tel qu'elles voulaient le rêver. Un corps svelte, souple, agile. Oui, il devait être ainsi. Il ne pouvait y avoir une autre possibilité. Et ses vêtements ne faisaient qu'imposer sa présence. Tout en lui respirait une forme de charme, un charisme, que les autres hommes de la taverne n'avaient pas. Il était plaisant du regard. Elles devaient maintenant s'en approcher. Ainsi, d'une démarche féline, elles vinrent vers leur proie. Mais déjà, elles se savaient repérées par son regard d'aigle. Elles ne se défilèrent pas, l'approchant toujours. Il était à elles le temps de cette soirée et elles comptaient bien en profiter. Aussi, après quelques péripéties, elles se retrouvèrent ensemble dans une chambre d'une auberge décrépie. Les vêtements volèrent et bientôt, elles purent découvrir ce qu'il avait gardé caché jusqu'alors. Tatouage et cicatrices barraient son torse et ce n'était que maintenant qu'elles découvraient les piercings à ses oreilles. Trop heureuses du joli gratin qu'elles avaient acquis, elles ne posèrent aucune question. Pourtant, quelques secondes après, la porte implosa et un géant apparut dans l'entrée.

« _ Oups. Ca, c'est le Boss qui vient pour moi, les filles. » dit-il sur le ton de la rigolade.

Surprises, elles reconnurent un homme de la Marine. Et bouleversées, elles le laissèrent partir sans dire un mot. Surprenant. Comment pouvait-il être un homme de la Marine et s'habiller de la sorte. Comment osait-il seulement agir ainsi ? Piégées, elles restèrent un long moment en sous-vêtements avant de partir, têtes basses, l'esprit confus.

Description Psychologique

Bien des traits peuvent caractériser l'homme qu'il est. Certains vous parleront de son arrogance exacerbée, d'autres de son franc-parler. Pour certains, nous devrions nous focaliser sur son histoire et son passé pour l'expliquer. Car avant tout, c'est un rebelle. Il fut un temps un Révolutionnaire ... Mais il ne l'est plus. Et c'est certainement ce qui prédomine dans l'esprit de ceux qui peuvent l'entourer. Il est un traître. Néanmoins, n'allez pas dire qu'il est lâche ou couard car il ne l'est. Seulement, il a retourné sa veste. Il est alors difficile de se retirer cette idée de la tête. Ne trahira-t-il pas encore ? Quel est son intérêt dans ces affaires ? Mais plutôt que d'offrir quelques questions qui n'auront pas de réponse, retraçons davantage toute sa psyché.

Histoire

« Je suis seulement un enfant des rues qui a vu l'horreur de ce monde ... »

Chapter One : Survive !

Tu es né là-haut, dans les haut-bourgs de cette petite île. Tu as toujours cru qu'elle t'appartenait. Qu'un jour, tu en serais le roi. Et tu ne connais pas mon histoire. Je ne suis pas comme toi. Je suis pas toi. Et je ne le serai jamais. Car je n'ai pas eu ta vie. Et je ne rêverai jamais de l'avoir. Car tu crois que tout t'est acquis. Mais rien ne l'est. Pour vivre, il faut d'abord survivre et se battre. Mais ton luxe ne t'a appris cela. Si seulement tu connaissais ma vie. Si seulement tu pouvais la comprendre. Mais tu en es incapable. Nous ne serons jamais pareils. Toi et moi sommes différents depuis le jour de ma naissance. Et si j'ai toujours regardé dans la direction de ton château, tu n'as jamais su ma présence. Tu ne sais tout simplement pas que j'existe. Alors que ta seule vue pour moi fut le ravissement d'une vie.

Je suis né dans les faubourgs de la cité que où ta famille règne. Sur cette île où une seule ville loge. Et tu ne connais pas nos calvaires. A nous. Ceux d'en bas. Nous n'avons pas ta chance. Mais, dans ton palais doré, tu crois que chacun vit comme toi. Pour te dire, ce ne fut jamais mon cas. Car là où j'ai vu le jour, l'existence est un combat du quotidien. Je suis enfant des rues. De ceux que l'on ne parle jamais car ils ne savent ni lire ni écrire. Que personne ne les voit et qui sont pourtant partout. Nous sommes comme une grande famille. Mais chacun vit pour soi. Car on lutte seulement pour survivre. Et jamais nous n'offririons notre pain à notre voisin. Lui, il mourra. Et pas toi. C'est une loi difficile à comprendre, pour toi. Mais nous la connaissons par coeur. Elle nous définit durant des années.

Tu crois certainement que chacun a la même chance que toi. Un père et une mère qui t'aime. Fruit d'un amour. Désiré. Là encore, je te contredirai. Mais tu n'es pas en face de moi. Ici, nous sommes rarement ce fruit. Plutôt un parasite. Tel que moi. Je n'ai jamais été désiré par ma mère. Je ne suis rien de plus que l'enfant conçu durant un viol. Mon père n'est qu'un ivrogne. Ma mère ne put rien faire sinon pleurer. Voilà mon histoire. Et tu crois encore qu'il existe encore des princes charmants ? Ceci, ce me fut appris par mes parents adoptifs. Un vieillard à la barbe bien fournie et une femme que les rides ne finissaient plus d'enlaidir. Mais je les ai aimé comme tu peux aimer tes parents. Car ils furent tout ce que je connus de bien durant des années. Ils furent mon cocon. Mon refuge contre cette vie indigne.

Combien de fois j'ai dû me battre pour un simple morceau de pain tandis que toi, tu devais manger tel un roi des contes que me racontaient mes parents ? Tous les jours, je retrouvais de mes compagnons d'un jour, mes ennemis d'une nuit, morts. Personne ne survivait à la nuit quand on souhaitait s'endormir. C'était alors pour toujours. Aucune chance de se réveiller le lendemain. Le corps était tellement épuisé, à bout de force, qu'il s'éteignait durant le sommeil. Une belle mort sans souffrance disaient les plus vieux. Car d'autres s'écroulaient au milieu des rues, d'autres s'effondraient proche du port et se noyaient. Que de morts atroces j'ai vu dans ma jeunesse. Mais de tout ceci, tu ne sais rien. Et jamais tu n'en sauras rien. Dans ton château, loin de ces visions lugubres, tu vis dans un rêve éveillé.

Chapter Two : Shame !

Ma vie ne prit un sens que lors de ma quinzième année. Cela faisait deux ans maintenant que ma « mère » était morte et c'était au tour de mon « père » de s'en aller. Pour un homme de la rue, sa vue fut longue. Aussi, si je l'ai pleuré, ce ne fut jamais de rage. J'étais heureux d'avoir vécu avec lui durant tout ce temps et ce fut lui qui m'a appris ce que je peux savoir maintenant.

Chapter Tree : Purgatory !

Seigneur des Pirates

Bienvenue sur One Piece Sanctuary Raiton Homare.

Bien, dit nous quand tu as finis, Sesmar ou moi te noterons, Matmatah, ma préférée xD.

C'est par contre réellement dommage que nous avons tant de révolutionnaires pour 0 marine.

Enfin bref, bonne chance.

Cordialement,

Fondateur

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Cordialement,